Cycles Alex Singer

Grand Prix Paris Gisors

6 Juillet premier Grand Prix Paris Gisors à l'occasion du demi siècle d' Olivier.
En chiffre :150km et 986m de dénivelé.

A la boutique le formalités de départ vont bon train et le délégué aux inscriptions nous remets les dossards.

Surprise « El Gran Chicon » est au départ ca va être chaud. Sous les yeux éblouis de la foule en délire, la bête signe la feuille de départ.

Le peloton se range sur la ligne ça frotte déjà grâve, il faut se battre pour sa place. Nous voilà parti, le ciel est plombé et prêt à nous tomber sur la tête à la première occasion, le groupe bien emmené par Victor et Olivier traverse Paris encore calme à cette heure matinale.

Dès les premières difficultés les attaques fusent mais au sommet regroupement général, les concurrents sont nerveux et les sprints pancartes sont serrés .
Avec l'arrivée d'Olivier Mallet la tention monte d'un cran et le premier sprint classement est lancé de loin, ensuite un petit réconfortant s'impose : « toujours boire avant d'avoir soif » comme disait l'autre. (ca j'oublie pas hein une fois).

La route défile rapidement et en vue de Gisors ce qui devait arrivé arriva , le déluge nous rattrappe et en quelques kilomètres nous ne sommes plus que des pauvres pélerins trempés jusqu'à la moelle. La pancarte de Gisors se dispute en pédalo avec une visibilité plus que réduite tant il pleut.

C'est dans un triste état que nous arrivons chez Olivier Mallet où la fête peux commencer. Après une petite opération de séchage tant bien que mal, on met le fût en perce et la bière coule à son tour. Le pain les rilletes, le jambon ... viennent redonner couleur aux convives et l'ambiance monte.

C'est l'heure de dire des bêtises et à ce jeu « El Gran Chicon » en connais un morceau si bien que les zogimatiques sont mis à rude épreuve. Après ce bon moment de rigolade il faut repartir, la pluie à quasiment cessé et va nous laisser rentrer sans soucis. Encore quelques belles pancartes et voilà la boutique où la fête peux continuer.

Un superbe gâteau et les chants de l'amitié viennent ponctuer cette journée.
« El gran Chicon » se retire sou les ovations et s'en retourne vers sa destinée lointaine.

I'm a poor lonesome Chicon...